23 janvier 2011
>> On dit toujours les uns, les autres...
Le plus confortable, c’était une maison, un
chez-soi à soi
Le moins perturbant c’était l’enclos,
fermé.
Et pourtant j’en suis partie.
Pour vivre le danger du collectif, le casse-tête du vivre ensemble,
l’expérience de la proximité.
…car cela donne aussi des offrandes de
fleurs au pied des portes,
de fruits cueillis dans nos jardinières,
des rencontres impromptues là-haut sur le
toit.
Cela bouscule mes limites, mais aussi les clarifie.
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